Les CMO ne modifient pas la mesure du SAR

On ne peut parler de pollution ou de protection électromagnétique qu'à travers des constats biologiques

Toute proposition de protection, tout test de mesure de toxicité des ondes électromagnétiques, pour être valable, doit passer par le constat biologique. 

Or, le SAR ne mesure que l'élévation de la température d'un volume équivalent à celui d'une tête humaine, remplie de "sérum physiologique", et soumis au rayonnement électromagnétique considéré. Le SAR s'applique à des cadavres, et ne tient pas compte du caractère vivant des organismes. 

Le fonctionnement des CMO : les CMO ne réduisent et n'absorbent pas les ondes.

Le CMO émet un signal biologique extrêmement faible, mais suffisant pour être perçu par l'organisme. Ce signal de compensation entre en résonance avec les récepteurs des organismes vivants, et permet ainsi aux cellules soumises aux rayonnements électromagnétique d'échanger de façon normale et naturelle.

Une technologie qui absorberait les ondes ou leur opposerait une barrière empêcherait tout simplement votre appareil de fonctionner correctement : attention donc à ce type de technologie.
Avec un CMO, le fonctionnement des appareils (wi-fi, téléphones, etc) n'est en rien modifié : ni perturbation de la réception, ni modification des couleurs de la TV ou autre effet indésirable. Il n'y a ni augmentation ni diminution du champ électromagnétique émis par l'appareil.
En  faisant donc un test type "SAR", vous n'aurez donc aucun résultat et c'est normal : ce test n'est pas adapé, il n'a aucune signification biologique. Il faut faire un test biologique, type pharmacologique, si vous voulez mesurer des effets sur le vivant.


Le SAR (ou DAS) : ce test n'est pas adapté aux effets biologiques

Il ne mesure que les effets thermiques des ondes électromagnétiques
Une "protection" qui bloquerait les ondes électromagnétique augmente la toxicité biologique de l'appareil

Test réalisé à l'Université de Montpellier, ayant fait l'objet d'une publication scientifique :
Mortalité embryonnaire : mesure de la toxicité biologique

Extraits :
"17 % : mortalité embryonnaire moyenne (les embryons ne sont soumis à aucune exposition)
59 % : mortalité moyenne des embryons soumis à un téléphone portable, spectre complet
76 % : mortalité moyenne des embryons soumis à un téléphone portable, dont les micro-ondes ont été filtrées.
(retour à des valeurs normales avec un CMO)"

Conclusion : un test "SAR" aurait conclu à une bonne efficacité de cette "protection" constituée d'un filtre à micro-ondes, alors qu'une mesure sur des organismes vivants conclut en réalité à une AUGMENTATION de la toxicité biologique. Les tests SAR n'ont par conséquent aucune validité biologique

Réalisations Koredge